Grand Visionnement 2020: Channing Tatum: Logan Lucky

Rôle : Jimmy Logan

Très cher Steven Soderbergh,

Je suis désolée, sincèrement. Je comprend maintenant que je t’ai très mal jugé par le passé et je te présente des excuses. Bien qu’ayant une idée générale du fonctionnement de la machine, je me suis rendue compte que je t’ai mis des reproches sur le dos que tu ne méritais pas entièrement.

J’ai aussi des remerciements à t’exprimer. Pour avoir fait Logan Lucky de cette façon. Ton « Ocean 7/11 » m’a prouvé l’erreur de mon évaluation.

Tu es capable de subvertir les attentes de ton auditoire, tu peux jouer avec les clichés de façon compétente, j’avais tors. Est-ce l’expérience qui t’a permis de prendre le concept de Ocean et l’appliquer à une gang de trailer park redneck? Probablement, mais je pense que la grande liberté de mouvement que tu as obtenu en faisant ce film sans l’intervention d’un studio et en vendant directement la distribution à l’avance pour le financer a beaucoup à voir aussi. Et c’est pourquoi je te présente mes excuses.

Parce que Logan Lucky me rappelle que tu es un excellent raconteur et un dirigeant d’acteur comme on en voit malheureusement peu. Ryan Jonhson l’a lui aussi cette touch qui traverse l’écran. Logan en déborde. Personnne dans ce film est un mauvais acteur en partant, mais on voit le talent de chaque performance crever l’écran. Chacun des acteurs, et même des figurants, est monté sur un piedestal et on t’entend presque nous chuchoter à l’oreille à chacune des répliques de Riley Keough ou de Katie Holmes « regardes comme elle est bonne, c’est vraiment une super actrice tu trouves pas? » Et on est d’accord avec toi, même quand le personnage est pas super bien écrit, comme celui de Katie, elle brille pareil, elle transperce l’écran.

TOUS tes acteurs transpercent l’écran dans cette merveille de film. C’est une lettre d’amour aux acteurs. Et ça fait chanter mon âme de spectatrice.

Je suis assise dans mon salon, et je regarde aller une bande de trailer trash avec des accents à couper au couteau et des factures impayées, mais j’ai l’impression d’assister à une symphonie avec un orchestre composé entièrement des meilleurs solistes de chaque instrument, mais ils fonctionnent parfaitement en orchestre. Ce qui, pour ceux qui connaissent pas le milieu de la musique classique, est quasiment impossible.  Steven Soderberg, tu es un chef d’orchestre de génie. Tes acteurs et tes personnages sont tous des premiers rôles dans ton coeur et ça parait à l’écran.

J’en vient à la conclusion que tu dois être un estie de bon gars, parce que ça prend une générosité particulière pour accorder autant d’énergie partout.

Tu as toujours un certain inconfort dans l’écriture des personnages féminins, mais ton film est tellemet bien fait, que ça ne saute pas aux yeux comme dans Haywire ou Side Effect. Et c’est beaucoup moins pire. Possible que ce soit l’expérience, mais moins de pressions du studio peut aussi t’avoir libéré de l’obligation de rendre la docteure plus sexy pour que l’intérêt de Jimmy soit plus « justifié ». C’était pas nécessaire, et tu l’a compris.

Est-ce que je suis en train de te dire que je commence à comprendre que si la soeur d’Adam et la fuck buddy de Mike dans le premier Magic Mike étaient aussi fucking horribles, c’est parce que le studio voulait un personnage « moral » pour servir de compas et une « salope » pour justifier le choix de Mike de « changer sa vie »? C’est une nouvelle hypothèse que j’ai, en effet. Je pense que si un studio avait produit Logan Lucky, Mellie aurait été obligée de montrer ses seins pour détourner l’attention d’un surveillant à un moment donné. Mais la Mellie qu’on a eu est hyper sexy, sans aucune hésitation, mais elle est clairement sexy selon ses propres termes, et pas ceux d’un autre. Assumer sa sensualité et l’annoncer sur un billboard, c’est pas la même chose. C’est très très bien fait ici.

L’avantange d’un bon directeur d’acteur, c’est que les comédiens sont en confiance et ils se laissent aller. Et Daniel Craig et Adam Driver se laissent aller à fond dans ce film. Avant la sortie de Knives Out, j’aurais dit que Joe Bang est la meilleure performance de Craig en carrière. Maintenant, elle est ex aequo. Mais prend le pas comme un échec, Johnson a clairement appris à diriger ses acteurs en regardant tes films. Joe Bang vole la vedette de ce film. La famille Logan est au coeur de l’intrigue, mais on veut que Joe Bang gagne autant, sinon plus, que Jimmy, Clyde et Mellie. Mais Joe n’est pas un bon gars, comme les Logan! C’est un croche, c’est un criminel, je ne laisserais JAMAIS mon verre sans surveillance s’il est dans le même building que moi. Et pourtant… On veut quand même qu’il gagne. Il est juste trop savoureux à voir aller. Craig mets tout son charisme dans son poseur de bombes épais, mais génial en même temps. J’adore Joe Bang.

Et Driver… Wow. J’aime pas Leah Dunham, j’ai pas regardé Girls, donc j’avais juste Kylo Ren comme référence, ce qui est loin d’être un rôle avec lequel on peut juger du talent d’un acteur, le personnage étant un ado immature. Mais son Clyde ici est PAR-FAIT. Le deadpan digne d’Aubrey Plaza, Reine du deadpan, la menace et la violence potentielle du personnage qui couve sous la surface, mais qui ne sort jamais. On sent le contrôle que Clyde a sur chacune de ses actions. En surface, il est le petit frère obéissant, mais sa loyauté n’est pas gratuite, la confiance qu’il a en Jimmy est justifiée au point que quand ils ne se parlent plus, c’est une catastrophe pour l’audience. Et quand arrive la finale, on se sent tellement soulagés. Et on repense à Clyde et à ses agissements, et on réalise que Driver avait le contrôle parfait de Clyde au point où son non verbal prend un sens nouveau, une fois les infos de la fin clarifiées. Mais quand on pensait que la chicane était pognée, son non verbal marchait quand même, et on s’est fait prendre au piège! C’est de l’intériorisation du personnage à un niveau de Grand Maître. Un pur délice.

Chacun des personnages centraux de ce film est à la fois un idiot et un génie. Mellie est baveuse et superficielle, mais son focus sur la route et son sang froid sont extraordinaires. Clyde est naïf, mais on peut se fier sur lui à 100000%, tu peux lui confier ta part de gâteau au fromage à surveiller sans hésiter une seconde, pas une molécule de cette part ne sera dérangée jusqu’à ton retour. Jimmy est un loser, mais il est foncièrement honnête (oui oui, vous avez bien lu) et il est beaucoup plus intelligent qu’il n’y parait. Il a le cerveau de Dany Ocean, mais pas son ambition. Jimmy ne veut pas être riche, il veut juste une chance de prendre sa vie en main. Son ambition raisonnable est au coeur de la réussite du plan.

Profitons pour rammener au sujet central qui justifie cet ajout à la tradition du Grand Visionnement: Ta muse, mon Steven, et une des miennes: Channing Tatum.

Tatum est l’acteur parfait pour les films de Soderberg, c’est pas nouveau. Ton style de dialogue « naturel » est parfaitement maîtrisé par notre homme. Jimmy est le coeur de ce film, mais il est au second plan. C’est le tronc de ton film. Craig, Driver, Keough et les autres sont le feuillage. On s’extasie sur les belles couleurs des feuilles, mais sans le tronc, elles ne seraient pas visibles pour tous. Accepter ce genre de rôle n’est pas donné à tous les acteurs. Un Tom Cruise aurait rué dans les brancard en voyant le produit fini. Mais Tatum est un joueur d’équipe et il donne lui aussi son tout à ce personnage tout en sublitlité. Jimmy ne brille pas, mais c’est sa FORCE. Jimmy est le gars qui se cache derrière un Joe Bang et lui laisse l’illusion qu’il mène, parce qu’il sait qu’au final, il aura plus facilement ce qu’il veut et que l’attention sera sur Joe si ça chie.

La première fois qu’on regarde le film, on passe le running time au complet à se demander si ce gars sait ce qu’il fait. Et à la fin, on a une réponse, mais… Et la seconde fois, on remarques autre chose et la réponse change, et encore, et encore, et encore… Il est complexe sous toute cette simplicité le Jimmy. Mais c’est un maudit bon gars. Vraiment un maudit bon gars. Et Tatum assume cet aspect de son personnage sans aucun égo, il laisse la place à Daniel, Adam et Riley pour qu’ils étendent leurs ailes et brillent en avant, il est très bien dans sa job de tronc qui soutient les feuilles. C’est une facette de cet acteur que j’ai toujours adoré, il est intéressé par des rôles pour le rôle, pas pour le potentiel d’attention qu’il va lui offrir. Un acteur moins empathique aurait demandé que Jimmy soit plus leader, que son rôle soit plus juicy, d’avoir des brillants. Mais ça aurait gâché Jimmy. Jimmy veut reprendre son dû à la Société, il est pas intéressé à lui donner une leçon. Il n’est pas gourmand, c’est le secret de sa réussite. Et Tatum et toi, vous l’avez parfaitement traduit à l’écran.

Logan Lucky est ton film entièrement à toi, Steven, et je pense que c’est ton Chef D’œuvre. Je pense que dans les classes de cinéma, les profs superficiels vont enseigner Ocean et Erin, mais les bons profs vont enseigner Logan Lucky. Parce que ce film est la quintessence de ton talent de réalisateur, et c’est une merveille.

Et c’est pourquoi je tenais à m’excuser pour ce que j’ai dit de toi dans mes Visionnements précédents. Je t’ai mal jugé. Mea culpa.

Sans rancunes,

Matante Elise.

P. S. Passes mes remerciements à Adam et Channig pour cette photo, c’est aussi une merveille.

En décembre, nous allons débuter le Grand Visionnement le plus Grand de tous les Grands Visionnements. Si vous pensiez que j’étais Fangirl de Tom Hardy et de Channing Tatum, vous avez rien vu, ils n’étaient que les entraînements nécessaires pour trouver ma voix afin de m’attaquer à mon Idole Suprême. L’amour de ma vie, fantasme de mes nuits, LE gars le moins imparfait de l’Univers, le popotin de l’Amérique selon Paul Rudd et moi:

Chris Evans.

Le Grand Visionnement 2020: Tom Hardy:

Venom

(I got that) Adrenaline momentum (venom)

…Scuzez…

Rôle:

Eddie Brock/Venom

Ce film n’est pas génial. Il n’est absolument pas mauvais et il est vraiment vraiment entertaining. Mais ce n’est pas Black Panther, tsé.

Cela dit, plusieurs petits éléments de cette oeuvre sont absolument savoureux, rafraîchissants, originaux ou juste… cool. Et c’est un voyage parmis ces petits bijoux que je veux faire avec vous, plutôt qu’une review typique du film du début à la fin. Ça risque d’être un peu difficile à suivre si vous n’avez pas vu le film.

Ce que je suis en train de dire c’est : Regardez Venom. Il est sur Netflix. Et c’est un film le fun. Il a pas besoin de révolutionner le genre, il est le fun. Et c’est suffisant.

Diamant numéro un: Dan

Dan est un bon gars

Doctor Dan Lewis est le nouveau conjoint d’Anne, l’ex d’Eddie Brock.

Dan n’est pas jaloux d’Eddie, il n’est pas menacé par le fait qu’Eddie n’est clairement pas over Anne. Il ne dénigre pas Eddie, il n’est pas agressif envers lui. Il voit qu’Eddie ne va pas bien et il cherche à l’aider parce qu’Eddie est un être humain clairement en détresse et que Dan est un médecin. Dan est un vent de fraîcheur dans cet univers de héros dont le nouveau conjoint de l’ex est toujours un estie de trou de cul pour être certains que l’audience prenne pour notre scrappy main man. Il y a des exceptions (l’ex de Scott et son nouveau conjoint dans Ant Man donnent l’impression qu’ils sont antipathiques clichés, mais on se rend vite compte qu’il y a des raisons logiques à leur méfiance, et rendus au deuxième, ils sont totalement #TeamScott, ce que j’adore au plus haut point), mais en général, le DOCTEUR avec qui ton ex est en couple est une menace à ta virilité qui dois être détruite et l’ex de ta blonde qui a perdu sa job et qui agit comme un lunatique est un loser dangereux qui devrait se tenir loin de ta précieuse damoiselle.

Ça fait du bien de voir que même à son plus heavy, à aucun moment Dan n’essaie d’éloigner Anne d’Eddie, et il est toujours en mode « je suis là » pour Anne, of course, mais aussi pour Eddie. Et malgré que je souhaite tous le bien du monde à Eddie/Venom, je ne veux pas qu’Anne quitte Dan, Dan est super, Dan est une bonne influence sur tout le monde.

Diaman numéro deux:

Riz Ahmed.

Non, pas Carlton Drake, le personnage du méchant. Qui était tellement flat qu’on aurait juré un 7 up qui a passé six jours sans bouchon dans le fond du frigo. Mais même avec le personnage le plus paresseusement écrit de l’univers, Riz Ahmed arrive quand même à nous montrer qu’il a pas juste une belle gueule

il l’a aussi. Il a quoi? Ben ça. Le fameux « it factor ». Ce charisme qui fait que tu peux pas t’empêcher de regarder ce personnage complètement butché et le trouver quand même un ti peu cool pareil.

À part le fait qu’il kidnappe des sans abris pour leur insérer un parasite extraterrestre qui a 99 % des chances de les tuer, qu’il est complètement et entièrement égomaniaque et qu’il a tué Jenny Slate (PAS MA JENNY! YOU BASTARD!), t’as du fun à le regarder aller.

Parce que c’est Riz Ahmed. Et il l’a.

Diamant numéro 3 : Jenny Slate

Oh, Jenny Slate! How I love you!

Si vous avez déjà lu ce blogue, vous savez que mon coeur et mon âme appartiennent à Chris Evans. Il est parfait. Vous allez tellement être tannés de me lire à la fin de son Grand Visionnement, vous avez pas idée. Aucune femme dans l’histoire de l’humanité ne sera jamais assez bien pour mériter d’être la compagne de Chris Evans.

Sauf Jenny Slate.

Evans est très très discret sur sa vie privée, après sa relation avec Jessica Biel au début de sa carrière, il n’a jamais parlé publiquement de ses copines. Mais il a eu BEAUCOUP de difficulté à ne pas parler de sa relation avec Jenny Slate. Il était vraiment pas subtil sur Twitter, toujours à partager les tweets de Jenny, toujours à mentionner les projets de Jenny, son fil était le fan club officiel de Jenny Slate. J’avais aucune idée de c’était qui cette fille, mais c’était clair qu’il en était fou.

Et j’ai vu Jenny Slate à Drunken History, et j’ai compris. Je suis tombée cul par dessus tête en amour (pas un amour de fangirl, là, en amour sincèrement affectueux ) avec cette boule d’énergie aux bouclettes brunes et au nez pointu qui riait de son chien parce qu’il était castré (« stop showing us your balls, you don’t have any, you useless bunch of fur, I love you. You ball deficient idiot » ) et qui traine l’animateur à 4 pattes devant sa télé et lui fait écouter la « neige » en lui expliquant que c’est le bruit du Big Bang (true story. Googlez ça, c’est pété en estie, mais c’est la vérité). C’est une jolie fille, mais c’est pas un canon de beauté hollywoodienne non plus. C’est pas ma Monica, ou ma Gal, mes deux fantasmes féminins ultimes, mais elle est… Elle est magique. Elle est juste merveilleuse et je l’aime.

Et je pleure encore sa séparation d’avec Chris. Je magasinais ma robe pour leurs noces après cet épisode de Drunken History. Je comprenait totalement pourquoi le Twitter de Chris était devenu Jenny Central. Man, c’était la femme parfaite pour lui. Je VOULAIS qu’ils restent ensemble jusqu’à ce que la mort les séparent. Mais le destin (et John Hamm) en ont décidé autrement…

Son personnage dans Venom est encore moins substantiel que celui de Riz, à la limite de la sexy lamp, mais c’est Jenny… Oh Jenny…

Diamant numéro 4

La garde robe d’Anne Weying

Ok, dès les trailers, j’ai exprimé ma désolation devant la perruque qu’ils ont mis sur la tête de Michelle Williams et je reste de cet avis. Pour la première fois depuis le début de mon histoire de fan finie de Tom Hardy, c’est pas lui qui a la perruque malheureuse sur la tête. (voir mes billets sur Minotaur et Tinker Tailor Soldier Spy pour référence.)

Cela dit, tout le reste de la garde robe d’Anne habite dans cet univers parfait dans lequel j’ai la shape, la confiance en moi et les moyens de mettre exactement ce que je veux quand je le veux.

Dernier diamant, mais non le moindre:

L’Homme, la Légende, le Parasite, Tom Hardy en Eddie Brock/Venom. Le talent d’Hardy pour jouer le gars qui n’a pas toute sa tête (ou, plus précisément, qui n’est pas tout seul dans sa tête) est en full swing ici. Comme toujours, Hardy y va à fond. Il est physique, il est fucking out of it, mais il vend totalement le gars qui trouve logique de sauter dans un aquarium dans un grand restaurant parce qu’il a chaud et se mets à manger un homard vivant. (Scène à laquelle Dan réagit en s’inquiétant pour Eddie et non en traînant de force Anne à l’extérieur pour la protéger. J’adore Dan, je vous l’ai tu dis?).

Autant dans le rôle d’Eddie pré et post infestation, que dans celui de Venom (il a fait les voix mais aussi le motion capture du personnage) Hardy prend, comme Amhed et Slate, le peu qu’on lui donne et cours le terrain au complet, pitche le balon triomphalement dans la zone et fait du breakdance pour le public (c’est un moment hot quand ça arrive au football, ça hein? Me semble que le monde capote quand ça arrive au football).

Le dialogue et les actions d’Eddie sont assez typique du genre de film, mais la performance de Tom nous emmène dans la ride avec lui, au lieu de nous présenter son histoire, comme Chris Evans l’a fait dans CA: First Avenger (c’est dans Winter Soldier qu’on a commencé à vivre avec Cap, plutôt que juste le regarder, estie que j’ai hâte d’être rendue à Marvel dans le futur Grand Visionnement Chris Evans!)

On veut que Venom reste, on veux que lui et Eddie ramènent Anne à eux (mais on veut pas que Dan ait de la peine, c’est difficile de vivre ces sentiments conflictuels, j’ose à peine imaginer à quel point Anne doit être confuse, j’en perds le sommeil et je suis pas concernée!). On veut qu’Eddie apprennne à Venom à être un parasite extraterrestre qui travaille pour le bien de l’humanité. On s’attache au personnage, malgré le fait qu’il mange des gens, et c’est 200% à cause de ce talent incroyable qu’à Tom Hardy de nous faire adorer même les plus cruels et horrible personnages (voir Peaky Blinders, ou mon billet sur Bronson).

Venom n’est pas un grand film, et c’est à peine un bon film, mais ces 5 diamants font que je n’ai eu aucun problème à réécouter ce film 3 fois pour pouvoir écrire ce billet et que je vous conseille de le regarder. C’est un film de superhéros inhabituel avec un héros qui n’en est pas un, mais qu’on aime quand même.

C’est comme…

une crotte….

dans le vent…

Ok, metton Zircon Cubic de Venom: C’est pas un diamant, mais vous ferez pas la différence de loin:
La chansons titre par Eminem. C’est une toune franchement déplaisante, mais je peux pas me l’enlever de la tête et je laisse rouler le générique chaque fois parce que je suis maso.

Prochain billet, je vais parler d’un film de Steven Soderbergh qui ne reçevera pas un « c’est bon, mais…. » de ma part. Logan Lucky est juste…

FUCKING PAR-FAIT.

(ce texte n’a pas été révisé pour les pheautes de phrensès parce que l’auteure est paresseuse et manque d’ambition. Elle n’aspire pas à devenir virale et elle s’en calice un ti peu, c’est l’heure d’aller faire dodo)